1. puisque
Puisque tu le dis !
Puisque plus de monnaie-papier est entrée en usage, la valeur a chuté.
Puisque les femmes prennent plus de responsabilités au travail et dans la communauté, il est dit que le nombre de femmes souffrant de stress dû à la fois à l'éducation des enfants et au travail augmente.
Puisque le bonheur n'existe pas, tâchons d'être heureux sans lui...
Je me demande si je n'irais pas quelque part pour changer d'air, puisque mon médecin me le conseille.
Jamais la psychologie ne pourra dire sur la folie la vérité, puisque c'est la folie qui détient la vérité de la psychologie.
En Amérique, chacun est de l'opinion que personne ne lui est socialement supérieur, puisque tous les hommes sont égaux, mais il n'admet pas qu'il n'a pas d'inférieurs.
Ici, vous cultivez des terres franches et libres, et ne travaillez que pour vous-même, puisque vous ne payez ni redevances, ni impositions.
Puisque mon époux a été admis à l'hôpital, j'écris en son nom.
J'ai étendu mes rêves sous vos pieds ; marchez doucement puisque vous marchez sur mes rêves.
Ou plutôt, puisque vous n'aimerez pas, puissé-je faire pousser une heureuse marguerite, dans le chemin du jardin qu'ainsi votre pied d'argent puisse m'encourager à aller, puisse m'encourager à aller, même jusqu'à la mort.
Puisque la femme revendique ses droits, ne lui en reconnaissons qu'un seul : le droit de plaire.
Puisque tu fais beaucoup de navettes, il semble cohérent qu'utiliser une voiture plus petite, te ferais économiser de l'argent à la pompe.
La mort d'un homme de talent m'attriste toujours, puisque le monde en a plus besoin que le ciel.
Et à quoi bon exécuter des projets, puisque le projet est en lui-même une jouissance suffisante ?
Français mot "giacché"(puisque) se produit dans des ensembles:
L1ITGRA01 - do weryfikacji2. car
Pardonnez-moi, car j'ai péché.
Prenons bien conscience de la gravité de la journée d'aujourd'hui, car aujourd'hui, dans les murs accueillants de Boulogne-sur-Mer, ne se réunissent pas des Français avec des Anglais, des Russes avec des Polonais, mais des hommes avec des hommes.
J’ai souvent remarqué que les jeunes filles ne savent pas s’intéresser aux œuvres sérieuses, écrites cependant pour leur bien. Cela me confond, je l’avoue, car rien ne peut leur faire plus de bien qu’une lecture instructive.
Qu’en dis-tu, Mary ? Car tu es une jeune personne fort réfléchie, je le sais, et tu lis de gros livres, dont tu fais des extraits.
Il faut être trois pour apprécier une bonne histoire : un pour la raconter bien, un pour la goûter et un pour ne pas la comprendre. Car le plaisir des deux premiers est doublé par l'incompréhension du troisième.
Aujourd'hui on enterra le laitier. Beaucoup de gens étaient présents, car au village tout le monde le connaissait. "Oh, il est à Linschoten le laitier ?" "là non, il n'y est plus".
Le Coran, loin d'être inimitable, est une œuvre littéraire de qualité inférieure, car il n'est ni clair, ni compréhensible, ne possède aucune valeur pratique et n'est certainement pas un livre révélé.
Celui qui veut déambuler sur le sentier de la sagesse, ne doit avoir aucune crainte de l'échec, car pour autant qu'il progresse, sa cible reste pourtant à une distance inaccessible.
Excusez-moi, ce fer à repasser est-il vendu avec une femme avec ? Car bon, vous êtes bien gentil, mais je sais pas m'en servir de ce truc.
Le soir j'étais triste car j'avais mangé des anchois. Le matin le médecin me réconforta ; pourquoi être triste ? Après tout, j'ai mangé les anchois, les anchois ne m'ont pas mangé.
Français mot "giacché"(car) se produit dans des ensembles:
PREMIERE SEMAINE p. 11-45 VOCABOLARIO